contre toutes les bombes

Publié le par ABABORDTOUTE

deux infos militantes pour les jours à venir

1° Le CIAN 29 - Collectif pour l'interdiction des armes nucléaires 29 - organise un Ciné-Débat :

mardi 27 mars à 20h au bar O'Keltia, 11 rue de la Tour d'Auvergne à Quimperlé.

Projection du documentaire "LA BOMBE ET NOUS"

réalisé par Xavier-Marie Bonnot et sorti le 1er novembre 2017, dans le cadre d'un tour du Finistère qui se déroule durant les mois de mars et d'avril 2018.

La projection sera suivie d'un débat animé par Noëlle Péoc'h (Mouvement de la Paix) et Charles Le Hir (Université Européenne pour la Paix).

Entrée gratuite.

Synopsis : "Sommes-nous pris au piège de l’arme nucléaire ? Peut-on vivre sans elle ? Peut-on penser le monde autrement que par un équilibre de la terreur ? Est-elle, au contraire, un gage de paix et de stabilité ? Depuis la naissance même de l’engin ces questions alimentent les peurs les plus terribles et les discours les plus dangereux. Avec des intervenants de tous bords : militaires, scientifiques, historiens, militants, hommes politiques, ce film se propose de porter la réflexion sur l’actualité et l’avenir du nucléaire militaire".

 

2°  Diffusion sur la chaine parlementaire (canal 13) le dimanche 24 mars à 14h 

"ILS VONT ARRÊTER LA BOMBE"

Un documentaire de François Reinhardt Produit par What's Up Productions, avec la participation de France Télévisions et Public Sénat.

 « Celui qui ne sait pas est un imbécile. Celui qui sait et qui ne fait rien est un criminel ! ». Gilbert Nicolas, 84 ans aujourd’hui, a fait de cette formule, (que l´on doit à Bertolt Brecht), une profession de foi.

Au début des années 1960 c´est contre la « force de frappe » française qu´il va militer. En pleine guerre froide, et en dépit du « traité de Moscou », la France veut posséder l´arme nucléaire. Synonyme de souveraineté et de liberté pour la majorité des Français, la bombe nucléaire est, pour une poignée d´hommes et de femmes, un « crime contre l´humanité ». Au « cataclysme annoncé », ces militants anti-nucléaires opposent une méthode redoutable : la non-violence ! Pendant toute la durée des essais nucléaires atmosphériques en Polynésie Française (1966-1974), la contestation prendra plusieurs visages. Incarnée d´abord par les députés de Polynésie, l´opposition à la « force de frappe » sera ensuite relayée par une partie de la classe politique française (notamment l´opposition au Général De Gaulle), avant de se propager à de nombreux pays du Pacifique.

En 1973, un navire contestataire va tenter l´impensable : pénétrer dans le lagon interdit de Moruroa, pour empêcher la France de procéder à une série d´explosions nucléaires. A bord, un équipage international de 13 hommes et femmes, dont un français, Gilbert Nicolas !

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