16 février - propositions
Une réunion jeudi soir à l'Hotel des gens de mer ( pour le symbole) et quelques articles de journaux plus loin, nous voici donc entrés dans la phase "programme".
Retrouvez l'ensemble de nos propositions, à diffuser largement pour en débattre avec qui vous voulez en cliquant sur le lien :
http://ababordtoute.over-blog.fr/pages/PROPOSITIONS_DE_CAMPAGNE-298712.html
Un participant au débat de jeudi fait remarquer , à juste titre, que ce travail sur l'avenir n'est qu'un ensemble de "propositions" non fermées, non gravées dans la pierre, et que donc le mot "programme" pourrait être à bannir du vocabulaire politique tant il trahit la volonté de s'enfermer dans un cercle étroit et sans risque où l'on fige tout mouvement ( social et autre ...). J'ajoute que la fabrique d'idées ne doit pas s'arrêter au soir du 16 mars, sinon, un chef de service pourrait parfaitement remplacer l'élu pour faire de la gestion sans idées. Mais nous, nous cherchons à avoir des idées, la politique a besoin d'idées, et si possible, des grandes plutôt que des petites, ce qui ne veut pas dire qu'elles ne seront pas concrètes, ni réalisables.
Une mandature c'est 6 ans de construction avec, et pour la ville, avec l'imagination en alerte et la vraie discussion des propositions en ouverture de tout échange avec les citoyens.
Et si on commençait à construire ... l'utopie ?
Citation rapportée par C. Colimard:
"Grammaticalement , l'utopie n'est pas l'irréalisable, mais l'irréalisé.
J'accepte donc très volontiers d'être condamné comme utopiste car les utopies d'aujourd'hui seront peut être les réalités de demain" Théodore Monod
Retrouvez l'ensemble de nos propositions, à diffuser largement pour en débattre avec qui vous voulez en cliquant sur le lien :
http://ababordtoute.over-blog.fr/pages/PROPOSITIONS_DE_CAMPAGNE-298712.html
Un participant au débat de jeudi fait remarquer , à juste titre, que ce travail sur l'avenir n'est qu'un ensemble de "propositions" non fermées, non gravées dans la pierre, et que donc le mot "programme" pourrait être à bannir du vocabulaire politique tant il trahit la volonté de s'enfermer dans un cercle étroit et sans risque où l'on fige tout mouvement ( social et autre ...). J'ajoute que la fabrique d'idées ne doit pas s'arrêter au soir du 16 mars, sinon, un chef de service pourrait parfaitement remplacer l'élu pour faire de la gestion sans idées. Mais nous, nous cherchons à avoir des idées, la politique a besoin d'idées, et si possible, des grandes plutôt que des petites, ce qui ne veut pas dire qu'elles ne seront pas concrètes, ni réalisables.
Une mandature c'est 6 ans de construction avec, et pour la ville, avec l'imagination en alerte et la vraie discussion des propositions en ouverture de tout échange avec les citoyens.
Et si on commençait à construire ... l'utopie ?
Citation rapportée par C. Colimard:
"Grammaticalement , l'utopie n'est pas l'irréalisable, mais l'irréalisé.
J'accepte donc très volontiers d'être condamné comme utopiste car les utopies d'aujourd'hui seront peut être les réalités de demain" Théodore Monod