CD 122 - le retour d'un serpent de mer...

L'enquête publique sur le CD 122 a été ré-ouverte en ce mois de mai pour remettre sur le tapis une nième fois la réalisation de cet axe parallèle à l'existant qui doit "désengorger" le passage des voitures à Kroissant Bouillet et favoriser on ne sait trop quels desseins de bétonneurs, qui forcément dans cette affaire, ne seraient point perdants !

voici un petit dossier de presse assorti d'un rappel d'une intervention des élus d'ABT en juin 2010 sur ce même sujet. Christian Colimard a également envoyé un billet d'humeur ... 

... sans doute serait il pertinent qu'ABT réfléchisse à une communication avant la fin de l'enquête publique pour faire connaitre son point de vue

tout d'abord le lien concernant l'argumentaire de 2010 (rien n'a beaucoup changé)

http://ababordtoute.over-blog.fr/article-15-juin-cd122-suite-52248306.html

et le billet de C. Colimard

"Pourquoi s'obstiner à ressortir l'affaire de la CD 122 ?
Quel business pousse, à nouveau, à l'excès de ce tout routier démesuré ?
Seraient-ce les croisés du BTP, du transport routier, les chasseurs de labels "côte touristique" pour fréquentation BC-BG, qui foncent dans le paysage politique brouillé ?
Ou se situe le développement de l'économie primaire réelle?
Autant d'inconnues et d'interrogations légitimes qui mériteraient pour le moins une autre présentation qu'une énième commission d’enquête prétexte.
En tous les cas, encore une fois, la cible évidente est la corne d'abondance d'argent public détourné vers autre chose que la priorité à l'intérêt général.

Il a été dit : "l'impact inapproprié aux activités existantes ou en perspectives, le mauvais plan agro-écologique, le peu de cas fait des porteurs d'avis divers réservés..."
Traduisant ce désarroi fasse à la méthode et à la finalité de cette nouvelle opération, ABT demande qu'elle soit considérée dans une approche nouvelle, globale et dynamique de l'avenir du territoire qui serve la population."

ensuite un article du télégramme (30 avril) qui présente l'enquête publique et un article de Ouest France (2 mai) qui fait état de l'opposition d'un certains nombre de citoyens et groupes qui se sont déjà exprimé (Le club du Beffroi, les écologistes)