infos diverses

Publié le par ababordtoute

devinette du 7 novembre :

 

and the Winner is ... Roland ( cela n'étonnera personne !)

 

Octave Mirbeau , dont j'ai eu le plaisir de jouer (c'était en 1990 je vous rassure !) une adaptation du "journal d'une femme de chambre" autrement immortalisé par Bunuel et Jeanne Moreau, auteur entres autres d'une pièce appelée "les affaires sont les affaires" qui est encore régulièrement produite, journaliste à ses heures, Dreyfusard convaincu et ... anarchiste !

 

le livre s'est quasi jeté sur moi  à la bibliothèque municipale de CC dans les acquisitions récentes : "Interpellations" textes réunis par Serge Quadruppani aux éditions "le passager clandestin" ... Voilà, Vous savez tout

 

j'ai été seulement frappée en lisant ce petit opuscule de la résonnance que cela pouvait avoir avec une situation des plus actuelles, comme quoi... les combats sont loin d 'être finis

 

A ce sujet et sans dévoiler le compte rendu que ne manqueront pas de nous faire quelques présents à la réunion de mercredi:

 

il faut déjà retenir la date du  22 NOVEMBRE à 20 H et amener plein de gens  pour lancer notre campagne. Comme dit Jean Chris, si chacun des présents arrive à contacter 4 ou 5 personnes, ce serait chouette.

 

Pensez aux femmes et aux enfants d'abord ( je veux dire aux "djeunns") ... il en faut sur la liste

 

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D
au delà du coté purement érotique de l'ouvrage en question ( le journal d'une femme de chambre), Mirbeau , à travers les aventures de Célestine, petite bonne bretonne fourvoyée dans le stupre de la<br /> bourgeoisie parisienne qui utilise ses domestiques comme bon lui semble, mène une charge féroce contre les moeurs du temps et l'exploitation sexuelle, et autre, de la misère. Je ne connaissais pas<br /> à l'époque le coté anar de Mirbeau, mais la fin de l'histoire est terrible, car Célestine, qui s'est toujours sortie de tout et n'a jamais perdu son ironie critique vis à vis des habitudes de ses<br /> maitres, finit elle même par devenir la proie d'un sale type de la droite extrême , violeur pédophile de surcroit, avec qui elle pense pouvoir faire une fin honorable...
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R
Très bien Marie, je les appelle toutes Marie, portez-vous toujours vos chères petites bottines ?<br /> Je ne trouve pas convenable qu'une femme cire ses bottines, à plus forte raison les miennes... Je respecte beaucoup les femmes, Marie, et ne peux souffrir cela... C’est moi qui les cirerai, vos<br /> bottines, vos petites bottines, vos chères petites bottines... C’est moi qui les entretiendrai... Écoutez bien... Chaque soir, avant de vous coucher, vous porterez vos bottines dans ma chambre...<br /> Vous les placerez près du lit, sur une petite table, et, tous les matins, en venant ouvrir mes fenêtres... vous les reprendrez.<br /> Râââh lovely ! (Journal d'une femme de chambre)<br /> Amis fétichistes bonsoir ! Mais arrêtez de fantasmer sur les chevilles des actrices.<br /> <br /> Roland
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