31 janvier - dans la rue... et après !
10 000 dans la rue à Quimper et des centaines de mille dans toute la France ... !
Ah oui, c'est bien cette protestation collective... ça ouvre une brèche dans nos horizons bouchés !
mais il y a tant de réalités contre lesquelles il faut encore se battre, tant de fragilité, d'injustice, d'inquiétude d'un coté, et de l'autre mépris, violence, refus d'entendre la voix du peuple, travailleurs, retraités, lycéens, chômeurs, exclus.
Dans notre pays riche où le fossé se creuse de plus en plus entre celui qui a tout, bien au delàdu suffisant, et celui qui n'a plus, d'emploi, d'argent pour finir le mois, d'espoir d'avenir, et bientôt, qui sait, plus de lieu où dire sa colère, beaucoup désormais s'accordent à dire que la société telle qu'on nous la façonne à l'arraché, est moins que jamais ce dont nous avons tous rêvé un jour, et qui nous a fait marcher en politique, ou battre le pavé des villes... Insupportable régression ?
Se retrouver 10 000, et puis, demain quelles perspectives ? comment continuer à lutter ? que faire qui soit utile à l'élaboration d'un autre visage du social, du vivre ensemble, du mieux être auquel chacun a droit ?
Ranger les pancartes, les slogans, les banderolles, et retrouver le chemin de l'ordinaire où le capitalisme triomphant malgré son apparente débandade, fait payer aux "sans grades" le poids de ses monstrueux excès, où le pouvoir écrase tout ce qui lui résiste pour crime d'insolence.
Demain commence, et recommence, la nécessité de la résistance, de l'engagement collectif, et de l'action.
Comptons les uns sur les autres, c'est à dire, comptons sur nous mêmes, et nos forces rassemblées,
et la prochaine fois soyons 20 000 sur les pavés !
d'autres photos de la manif : http://ababordtoute.over-blog.fr/album-1296159.html
Ah oui, c'est bien cette protestation collective... ça ouvre une brèche dans nos horizons bouchés !
mais il y a tant de réalités contre lesquelles il faut encore se battre, tant de fragilité, d'injustice, d'inquiétude d'un coté, et de l'autre mépris, violence, refus d'entendre la voix du peuple, travailleurs, retraités, lycéens, chômeurs, exclus.
Dans notre pays riche où le fossé se creuse de plus en plus entre celui qui a tout, bien au delàdu suffisant, et celui qui n'a plus, d'emploi, d'argent pour finir le mois, d'espoir d'avenir, et bientôt, qui sait, plus de lieu où dire sa colère, beaucoup désormais s'accordent à dire que la société telle qu'on nous la façonne à l'arraché, est moins que jamais ce dont nous avons tous rêvé un jour, et qui nous a fait marcher en politique, ou battre le pavé des villes... Insupportable régression ?
Se retrouver 10 000, et puis, demain quelles perspectives ? comment continuer à lutter ? que faire qui soit utile à l'élaboration d'un autre visage du social, du vivre ensemble, du mieux être auquel chacun a droit ?
Ranger les pancartes, les slogans, les banderolles, et retrouver le chemin de l'ordinaire où le capitalisme triomphant malgré son apparente débandade, fait payer aux "sans grades" le poids de ses monstrueux excès, où le pouvoir écrase tout ce qui lui résiste pour crime d'insolence.
Demain commence, et recommence, la nécessité de la résistance, de l'engagement collectif, et de l'action.
Comptons les uns sur les autres, c'est à dire, comptons sur nous mêmes, et nos forces rassemblées,
et la prochaine fois soyons 20 000 sur les pavés !
d'autres photos de la manif : http://ababordtoute.over-blog.fr/album-1296159.html